Déjà en 1978, le célèbre Commandant Cousteau (Jacques-Yves de son prénom), océanographe et conservationniste, critique les campagnes contre la chasse aux phoques qu’il qualifie de totalement irrationnelles.
L’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) est un organisme non gouvernemental basé en Suisse qui existe depuis 1948 et représente 82 états, 111 agences gouvernementales, 800 organismes non gouvernementaux et 10 000 scientifiques et experts répartis dans 181 pays. Cet organisme promeut la conservation de la biodiversité ainsi que l’utilisation équitable et écologique des ressources de la planète. Bien entendu, il ne s’oppose nullement à la chasse aux phoques qui respecte tous ces paramètres. IUCN
Le sondage pancanadien effectué par la méthode TNS CanadianFacts (2010) prouve hors de tout doute qu’une majorité de Canadiens appuient cette activité puisqu’elle est gérée correctement.
L’attitude des Canadiens par rapport à la chasse au phoque - 2010
Plus près de nous, le Parti Vert du Québec, la sénatrice Céline Hervieux-Payette, l'ex-sénateur Jean Lapointe, le député Justin Trudeau et, comme le dit si bien Louis-Gilles Francoeur dans le documentaire Phoque : le film, tous les groupes environnementaux sérieux se positionnent en faveur d’une chasse aux loups-marins respectueuse de l’environnement.
La nouvelle génération, mieux informée et moins encline à tomber dans la propagande mensongère des animalistes, se tourne d’ailleurs de nouveau vers la fourrure véritable, beaucoup plus écologique et moins polluante que la fibre synthétique.
« Depuis presqu’un demi-siècle, les groupes animalistes n’hésitent pas à menacer les supporteurs de la chasse de boycotter leurs produits ou leurs services, de manifester devant leurs bureaux, etc... Une attitude que certains industriels de la pêche n’hésitent pas à qualifier d’écoterrorisme. Ils menacent également les politiciens de nuire à leur réélection et utilisent toutes les tactiques d’intimidation possible pour attiser la controverse sur la chasse aux phoques, leur principale source de revenu à travers les campagnes de financement. Malgré tout, les plus consciencieux font fi des menaces, persistent et signent : la chasse aux phoques est une activité bien gérée, durable, responsable et même nécessaire.
Plutôt que de faire comme les groupes animalistes et de clamer sans fondement que tel ou tel groupe nous appuie, voici quelques exemples concrets de regroupement qui nous ont fait parvenir des lettres de soutien.
Malgré l’écoterrorisme qui sévit, ce soutien s’élargit de jour en jour et nous en ajouterons les preuves au fur et à mesure qu’elles nous parviendront.
Merci à nos courageux supporteurs d’aller de l’avant car l’union fait la force. »
Depuis 2009, l’institution scientifique ExploraMer a mis la viande de phoque sur sa liste de produit à consommer dans un optique de développement durable et de protection de la biodiversité.
